Véranda en bois : guide des prix d’installation & infos
Vous souhaitez rénover votre maison en installant une véranda avec un confort et un esthétisme unique? Alors, choisissez la véranda en bois. Mais tout d’abord, découvrez dans cet article un ensemble d’informations la concernant et le guide des prix de son installation.
Prix pour une Véranda en bois
Le prix d’une véranda en bois est fonction de la nature de la véranda en bois choisie. En effet, vous avez le choix entre une véranda bois en kit ; une véranda en bois mixte (bois-alu) ou une véranda en bois sur mesure.
Apprêtez-vous à dépenser entre 250 euros/m² et 750 euros/m² pour une véranda bois en kit. Que ce soit en modèle préconçu aux dimensions standards non modifiables ou une véranda en kit sur mesure.
Cependant, une véranda en bois mixte (bois-alu) vous nécessitera un budget compris entre 600 euros/m² et 2500 euros/m². Et ceci contre une dépense prévisionnelle entre 1200 euros/m² et 2800 euros /m² pour le modèle sur mesure.
Facteurs influençant le coût d’une véranda en bois
Plusieurs éléments déterminent le prix final de votre extension en bois. La superficie totale représente le critère principal, mais d’autres paramètres impactent significativement votre budget.
L’essence de bois choisie influence directement le tarif. Les bois exotiques comme l’iroko ou le teck coûtent plus cher que les essences locales comme le pin Douglas ou le chêne. La qualité du vitrage (simple, double ou triple vitrage) modifie également l’investissement initial.
Les finitions et options personnalisées augmentent le coût : stores intégrés, système de chauffage, éclairage LED, ou encore motorisation des ouvrants. Comptez 15 à 30% supplémentaires pour ces équipements haut de gamme.
Caractéristiques d’une véranda en bois
Connaître les caractéristiques d’une véranda en bois permet de mieux l’apprécier. En effet, une véranda en bois se caractérise par cette facilité à s’accommoder à l’architecture existante. Elle crée une nouvelle aire de vie confortable et esthétique dans le respect strict de l’environnement.
La véranda en bois vient tout simplement agrandir votre espace habitable. Ainsi, installer une véranda bois, c’est se confier une mission d’épanouissement dans un cadre magnifique et agrée à son goût.
L’originalité de votre véranda en bois dépend de la décoration et des fonctionnalités que vous lui donnez. Une véranda en bois est une pièce vivante arborant un style de vie propre à votre vision et votre ambition.
Propriétés techniques du bois pour véranda
Le bois présente des propriétés isolantes naturelles exceptionnelles. Sa conductivité thermique faible (0,12 W/m.K pour le pin) surpasse largement l’aluminium (237 W/m.K), garantissant un confort thermique optimal toute l’année.
La résistance mécanique du bois massif permet de supporter des charges importantes. Les essences comme le chêne ou l’iroko offrent une résistance à la compression de 50 à 60 MPa, assurant la stabilité structurelle de votre extension.
Les traitements modernes (autoclave, imprégnation) protègent efficacement contre les insectes xylophages et l’humidité. Ces procédés garantissent une durée de vie de 25 à 40 ans selon l’essence choisie.
Avantages d’une véranda en bois
En choisissant, d’installer une véranda en bois vous bénéficiez de plusieurs avantages. En effet, une véranda en bois offre à son détenteur une commodité relaxante et une convivialité inégalée. Choisir une véranda en bois, c’est profiter de tous les avantages du bois.
Construire une véranda en utilisant le bois vous permet de bénéficier d’une véranda à l’allure singulière. Le bois est un matériau conforme aux exigences des règles relatives au respect de l’environnement.
La véranda en bois est l’unique véranda qui vous offre une isolation thermique naturelle. Porter son choix sur une véranda en bois, c’est l’assurance d’une véranda durable, résistante aux intempéries et d’un confort optimal. En raison de la présence du bois comme élément principal de votre véranda, ne soyez pas étonné de faire moins de dépenses dans la consommation d’énergie en été ou en hiver.
Faites le choix d’une véranda en bois pour profiter d’un cadre naturel ; convivial et pleine d’émotions.
Bénéfices écologiques et durables
Le bois constitue un matériau renouvelable par excellence. Sa production nécessite 60% moins d’énergie que l’aluminium et stocke naturellement le CO2 atmosphérique. Une véranda de 20m² en bois séquestre environ 2 tonnes de carbone.
L’empreinte carbone réduite du bois local diminue l’impact environnemental de votre projet. Les essences françaises comme le douglas ou le mélèze limitent les transports et soutiennent la filière forestière nationale.
La recyclabilité totale du bois en fin de vie permet une valorisation énergétique ou un réemploi dans d’autres constructions. Cette circularité respecte les principes de l’économie durable.
Confort thermique et acoustique
Les performances d’isolation phonique du bois atteignent 40 à 50 dB de réduction sonore. Cette propriété crée un environnement paisible, protégé des nuisances extérieures urbaines ou routières.
La régulation hygrométrique naturelle du bois maintient un taux d’humidité optimal entre 45 et 65%. Cette caractéristique améliore la qualité de l’air intérieur et prévient les problèmes de condensation.
L’inertie thermique du bois massif lisse les variations de température. Votre véranda reste fraîche l’été et conserve la chaleur l’hiver, réduisant les besoins en climatisation et chauffage.
Inconvénients d’une véranda en bois
La véranda en bois bien que présentant des avantages, elle a aussi quelques inconvénients. Cependant, ces quelques inconvénients sont de nature à appeler à votre vigilance.
En effet, pour bénéficier des avantages de la véranda bois en termes de résistance et de durabilité aux intempéries, vous devez faire attention sur la nature du bois utilisé dans la construction. Exigez de votre artisan que le bois soit bien traité. Si le bois est moins bien traité, sa résistance est prise à défaut. Ainsi il peut changer de couleur et offre un risque probable de fissure : ce qui est dangereux pour la véranda en bois.
En revanche, le bois à utiliser dans la construction de votre véranda doit être bien robuste comme les bois exotiques par exemple l’iroko ou le pin Douglas.
Pour bénéficier pleinement du charme de votre véranda en bois, vous devez l’entretenir régulièrement au moins une fois les deux ans.
Toutefois, faire le choix d’une véranda en bois, c’est consacrer un budget assez conséquent à sa réalisation. En réalité, la véranda en bois coûte plus chère que la véranda en aluminium ou en PVC.
Contraintes d’entretien et de maintenance
L’entretien représente le principal défi d’une véranda en bois. Un traitement préventif annuel s’avère nécessaire pour préserver l’aspect et les performances du matériau. Cette maintenance régulière représente un coût de 5 à 8 euros/m² par an.
Les conditions climatiques extrêmes accélèrent le vieillissement du bois. L’exposition prolongée aux UV, aux pluies acides ou aux écarts thermiques importants nécessite des interventions plus fréquentes.
La sensibilité aux insectes xylophages (termites, capricornes) impose une surveillance constante. Un traitement curatif coûte entre 20 et 40 euros/m² selon l’ampleur de l’infestation.
Limitations techniques et réglementaires
Certaines contraintes architecturales limitent l’utilisation du bois. Les règlements d’urbanisme locaux peuvent imposer des matériaux spécifiques ou interdire certaines essences dans les zones protégées.
La dilatation naturelle du bois nécessite des joints de dilatation appropriés. Ces mouvements peuvent créer des désordres structurels si la conception initiale ne les anticipe pas correctement.
Les performances au feu du bois (classement M3) imposent des précautions particulières. L’installation d’équipements électriques ou de chauffage requiert le respect de normes strictes de sécurité incendie.
Étapes de construction et d’installation d’une véranda en bois
En dehors de la véranda en bois conçue par le professionnel qualifié choisi. Il faut également des travaux de construction en amont et en aval pour asseoir l’installation à l’endroit idéal voulu.
Ainsi donc pour installer votre véranda, une étude préalable doit être faite. Le but de cette étude est d’identifier le type et la nature des travaux à effectuer avant ou après l’installation. Il peut s’agir de la création de fondations, des travaux de dallage ou de terrassement. Parfois, une ouverture du mur sur un côté donné peut être nécessaire. Sans une étude approfondie prenant en compte la volonté du client utilisateur et de son architecture, aucune résolution n’est à prendre.
Il est indéniable qu’une véranda en bois est un meilleur choix. Cependant, il faut bien accorder une importance particulière à son installation. Tellement son installation exige une grande attention que la moindre erreur d’appréciation peut entacher tous les bienfaits connus de cette véranda.
Il ne suffit pas de vouloir d’une véranda en bois pour la posséder. Il vous faut vous rapprocher des professionnels du métier. Les vérandalistes sont des professionnels formés pour monter une véranda bois. Seuls eux pourront vous orienter en vous donnant les meilleurs conseils. La sécurité des occupants ou des utilisateurs ainsi que la sécurité de votre investissement sont au cœur de vos discussions. Tous ces travaux nécessitent aussi bien un coût à ne pas confondre avec les différents coûts sus cités.
De façon générale, les coûts de construction d’une véranda en bois se situent entre 15% et 20% du coût global. Le coût global d’une véranda en bois n’est rien d’autre que la sommation du coût initial d’acquisition de la véranda en bois et les différents coûts supplémentaires supportés par le client. Cependant, nous vous conseillons de disposer à l’avance d’un plan de construction. Cela vous permettra de pouvoir avoir aisément une idée de l’estimation globale du coût de la véranda bois.
Phase préparatoire et démarches administratives
La déclaration préalable de travaux s’impose pour toute véranda de 5 à 20m². Au-delà de 20m², un permis de construire devient obligatoire. Ces démarches nécessitent 1 à 3 mois d’instruction selon les communes.
L’étude de sol géotechnique détermine la nature des fondations requises. Cette analyse coûte entre 800 et 1500 euros mais évite les désordres structurels futurs liés aux mouvements de terrain.
La consultation des réseaux (DICT) localise les canalisations souterraines. Cette démarche gratuite mais obligatoire prévient les accidents lors des travaux de terrassement.
Travaux de gros œuvre et fondations
Les fondations en béton armé supportent le poids de la structure. Leur profondeur varie de 60 cm à 1,20 m selon la nature du sol et les contraintes climatiques locales.
Le vide sanitaire ventilé protège la structure bois de l’humidité remontante. Cette solution technique, bien que plus coûteuse, garantit la pérennité de votre investissement.
L’isolation périphérique des fondations limite les ponts thermiques. Cette précaution améliore les performances énergétiques globales de votre extension de 15 à 20%.
Montage de la structure et pose du vitrage
L’assemblage de l’ossature bois respecte les règles DTU 31.2. Les liaisons mécaniques (boulons, tire-fonds) assurent la stabilité de l’ensemble face aux sollicitations climatiques.
La pose du vitrage nécessite des joints d’étanchéité performants. Les mastics structuraux modernes garantissent une étanchéité durable de 15 à 20 ans minimum.
Les finitions extérieures (bardage, lasure) protègent le bois des intempéries. Cette étape cruciale conditionne la durabilité et l’esthétique de votre véranda.
Choix du modèle de véranda en bois
Nous savons qu’il existe trois modèles de véranda en bois. Il n’est pas toujours facile d’opérer un choix parmi plusieurs possibilités. Cependant, vous devez choisir votre modèle idéal. Toutefois, certains critères peuvent influencer votre choix. Votre modèle idéal peut donc ne pas être votre choix final.
En effet, le choix de votre modèle doit chercher à répondre à une question fondamentale : celle de la raison principale pour laquelle vous souhaitez posséder une véranda en bois. Comment utiliserez-vous votre véranda ? Votre budget vous permet-il de choisir une véranda en bois sur kit ou une véranda bois sur mesure pendant que la véranda mixte vous tente ?
Rapprochez-vous des experts professionnels pour faire un choix définitif de votre véranda bois. Parfois, bien que vous disposiez du budget nécessaire pour vous offrir la véranda bois de votre rêve avec le choix du meilleur type de bois, des éléments externes vous feront choisir un autre modèle de véranda bois. Il s’agit notamment de votre situation géographique et de la configuration de l’endroit où sera posée la véranda en bois.
Véranda en kit : solution économique et rapide
La véranda bois en kit représente l’option la plus accessible financièrement. Ces modèles préfabriqués réduisent les délais de livraison à 3-6 semaines contre 8-12 semaines pour le sur-mesure.
L’assemblage simplifié permet un montage par des bricoleurs expérimentés. Les notices détaillées et les pièces pré-découpées facilitent l’installation, réduisant les coûts de main-d’œuvre de 30 à 40%.
Les dimensions standardisées limitent cependant les possibilités d’adaptation. Cette contrainte peut poser problème sur des terrains atypiques ou avec des contraintes architecturales spécifiques.
Véranda sur-mesure : personnalisation maximale
La conception sur-mesure s’adapte parfaitement à votre architecture existante. Cette solution permet d’optimiser l’espace disponible et de respecter les contraintes techniques particulières.
Les finitions haut de gamme distinguent ces réalisations. Moulures sculptées, essences rares, quincaillerie de prestige créent une véranda unique reflétant votre personnalité.
Le délai de fabrication s’étend de 8 à 16 semaines selon la complexité. Cette patience se justifie par la qualité exceptionnelle et l’adaptation parfaite à vos besoins spécifiques.
Véranda mixte bois-aluminium : le compromis moderne
La structure mixte combine les avantages des deux matériaux. L’aluminium extérieur résiste aux intempéries tandis que le bois intérieur apporte chaleur et confort.
Cette solution hybride réduit l’entretien de 60% par rapport au bois massif. L’aluminium thermolaqué ne nécessite qu’un nettoyage annuel à l’eau savonneuse.
Les performances thermiques atteignent des coefficients Uw de 1,2 à 1,4 W/m².K. Ces valeurs respectent les exigences RT 2012 et anticipent la RE 2020.
Types d’essences de bois pour véranda
Le choix de l’essence détermine les performances, l’esthétique et la durabilité de votre véranda. Chaque type de bois présente des caractéristiques spécifiques adaptées à différents usages et budgets.
Bois européens : douglas, mélèze, chêne
Le pin Douglas offre un excellent rapport qualité-prix. Sa résistance naturelle aux insectes et sa stabilité dimensionnelle en font un choix privilégié pour les vérandas. Son coût modéré (40-60€/m³) le rend accessible au plus grand nombre.
Le mélèze européen présente une durabilité exceptionnelle sans traitement. Sa teinte dorée évolue vers un gris argenté naturel. Cette essence supporte les climats montagnards les plus rigoureux.
Le chêne massif symbolise la noblesse et la pérennité. Sa dureté exceptionnelle (densité 0,75) garantit une résistance mécanique optimale. Son prix élevé (150-300€/m³) se justifie par sa longévité séculaire.
Bois exotiques : iroko, teck, ipé
L’iroko africain résiste naturellement aux termites et à l’humidité. Sa stabilité dimensionnelle exceptionnelle convient parfaitement aux régions tropicales. Cette essence ne nécessite aucun traitement chimique.
Le teck asiatique reste la référence absolue pour les environnements humides. Ses huiles naturelles repoussent l’eau et les insectes. Son prix premium (200-400€/m³) reflète ses qualités exceptionnelles.
L’ipé sud-américain présente une dureté comparable à l’acier. Cette essence imputrescible dure plus de 50 ans sans entretien. Sa densité élevée (1,0) nécessite un outillage spécialisé pour l’usinage.
Réglementation et autorisations pour véranda en bois
L’installation d’une véranda nécessite le respect de réglementations strictes. Ces obligations légales protègent votre investissement et garantissent la conformité de votre projet.
Démarches administratives obligatoires
La déclaration préalable concerne les vérandas de 5 à 20m² en zone urbaine. Ce dossier simplifié nécessite plans, photos et descriptif technique. L’instruction dure 1 mois en l’absence d’opposition.
Le permis de construire s’impose au-delà de 20m² ou 40m² selon les zones. Cette procédure plus lourde exige l’intervention d’un architecte pour les projets dépassant 150m² de surface totale.
La déclaration d’achèvement finalise les démarches. Ce document atteste la conformité des travaux au dossier autorisé. Il déclenche la taxation foncière sur la nouvelle surface créée.
Normes techniques et sécurité
Le DTU 39 régit la conception des vérandas. Ces règles techniques définissent les charges admissibles, les systèmes d’évacuation et les performances thermiques minimales.
La norme NF P 78-201 encadre spécifiquement les structures bois. Elle impose des sections minimales, des assemblages normalisés et des traitements préventifs selon les classes d’emploi.
Les règles neige et vent (Eurocode 1) déterminent les surcharges climatiques. Ces calculs influencent directement le dimensionnement de la charpente et des fondations.
Entretien d’une véranda en bois
Le bois est un matériau de construction naturel qui peut se dégrader très rapidement si son entretien est négligé. Par ailleurs afin de garantir à sa véranda une bonne durabilité, il faut dépoussiérer fréquemment en passant l’aspirateur sur toutes les structures et les parois. Lavez les vitres de haut en bas en utilisant des produits appropriés et un chiffon. Nettoyez la structure en bois avec un produit dégraisseur.
Entretien préventif annuel
L’inspection visuelle détecte précocement les désordres naissants. Vérifiez l’état des joints, la présence de fissures et les traces d’humidité. Cette surveillance évite les réparations coûteuses.
Le nettoyage haute pression (maximum 80 bars) élimine les salissures et mousses. Cette opération prépare le bois aux traitements ultérieurs. Respectez un délai de séchage de 48h minimum.
L’application de lasure protège et nourrit le bois. Choisissez des produits micropoureux permettant les échanges hygrométriques. Renouvelez ce traitement tous les 2-3 ans selon l’exposition.
Maintenance curative et réparations
Le ponçage localisé élimine les zones dégradées. Utilisez un abrasif grain 120 puis 220 pour obtenir une surface lisse. Dépoussiérez soigneusement avant tout traitement.
La réparation des fissures utilise des mastics bois adaptés. Ces produits gonflent avec l’humidité, assurant une étanchéité durable. Poncez après séchage pour uniformiser la surface.
Le remplacement d’éléments s’impose en cas de dégradation importante. Respectez l’essence et les sections d’origine pour maintenir l’homogénéité structurelle de l’ensemble.
Optimisation énergétique d’une véranda en bois
Une véranda bien conçue améliore le bilan énergétique global de votre habitation. Les solutions modernes permettent d’atteindre des performances remarquables tout en préservant le confort.
Isolation thermique performante
L’isolation des parois opaques utilise des matériaux biosourcés compatibles avec le bois. La fibre de bois, la ouate de cellulose ou le chanvre offrent des performances de 0,04 W/m.K.
Le traitement des ponts thermiques élimine les déperditions parasites. Les rupteurs thermiques en matériaux composites interrompent les transferts entre intérieur et extérieur.
Les vitrages haute performance (triple vitrage argon) atteignent des coefficients Ug de 0,6 W/m².K. Ces équipements réduisent les besoins de chauffage de 40% par rapport au double vitrage standard.
Ventilation et régulation climatique
La ventilation naturelle exploite l’effet de tirage thermique. Des ouvrants en partie haute et basse créent un flux d’air permanent, évacuant l’excès de chaleur estivale.
Les systèmes de brassage d’air homogénéisent les températures. Ces ventilateurs basse consommation (15-30W) améliorent le confort ressenti de 2-3°C.
La régulation automatique optimise les apports solaires. Capteurs de température, sondes d’ensoleillement et motorisation des ouvrants créent un microclimat idéal.
